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Ô grand désespoir ! Est-ce mal, d'un jour, t'écarter ?

Gabriel




Gabriel
Fondatrice
Lun 24 Oct - 18:43
▬ Mikaze Ai, Uta no Prince-sama

Physique :  Gabriel est d'une grande fragilité. Très fin et frêle, il pourrait se briser à n'importer quel moment. Sa peau, semblable à de la neige, est d'une blancheur pure. Au toucher, elle est lisse et sans imperfection. Pourtant, elle est cicatrisée. Au niveau de ses poignets et de son dos, on peut y compter des dizaines d'entailles blanches. Dans son dos, on peut y voir une énorme cicatrice sous son omoplate droite, la forme exacte qu'on la racine des ailes que les dieux possèdent.

Très bien coiffés, ses cheveux, d'un bleue poudre, sont remontés d'un côté pour laisser libre air à sa nuque et dévoiler sa petite oreille ronde. Lisse, sa coiffure peut certainement être qualifiée d’indiscipliné, mais c'est ce qu'il préfère. Une frange, qu'il place au sens contraire de sa petite queue de cheval, lui traverse une partie du visage. Cette mèche ne l'importune aucunement.

Puis, ses yeux. Ceux-ci sont d'un bleu semblable à ses cheveux, mais, à la différence il y a des reflets violets. De loin, ses yeux semblent pétillants et radiants. Mais, ce n'est pas le cas. Il suffit de s'approcher et de le regarder dans les yeux pour y découvrir une grande solitude et désespoir dans son regard.
Son apparence est extrêmement réservée. Sa très grande difficulté à communiquer peut parfois donner l'impression à ses interlocuteurs qu'ils le dérangent, qu'ils l'empêchent de rester dans « son monde ». Très mal à l'aise en société, il aura tout naturellement un fort penchant pour la solitude. Ni il ne se lie, ni il ne cherche la compagnie des autres, il semble indifférent à l'opinion d'autrui, tant aux compliments qu'aux critiques, et donne une apparence de mystérieuse impassibilité. Ce qui le caractérise le mieux c’est sûrement son air sérieux et distingué. Il n’est pas du genre à rigoler à la moindre petite blague. Il semble porter sur ses épaules le poids d’une lourde responsabilité. Il est discipliné, intègre et respectueux des conventions. Son esprit pragmatique provoque parfois quelques critiques. On peut parfois reprocher de ne pas rêver assez, de ne pas rire et s’extérioriser. Il possède d’incroyables facultés de concentration, c’est un travailleur efficace, extrêmement rigoureux et persévérant. Il est organisé et ne laisse rien au hasard, il aime se fixer des buts précis et déteste perdre son temps.
GabrielQue quelqu'un cesse ces murmures !

Race : Dieu
Classe : Aucune
Âge : 28 ans
Nationalité/lieu de naissance : Américaine, Californie
Orientation Sexuel : Bisexuelle (Parce que je déteste devoir aimer d'un seul côté.. Peut-être que l'âme-sœur se trouve du même côté que moi)
Métiers/études : Dépressif
Situation conjugale : Aucune
Situation familiale : Aucune
Pouvoir(s) : Il peut faire perdre la volonté d'un individu à combattre ou à vivre grâce à des chants spécifique. C'est en chantant qu'il utilise ses pouvoirs.

Il est le 290e représentant de la fameuse lignée maudite du Désespoir. Par maudite, les autres dieux entendaient par le fait que tous ceux naissant dieu ou déesse du désespoir était condamné à souffrir et à se suicider dans le plus grand désespoir. Souvent surnommé les suicidaires, être dieu du Désespoir était une tâche difficile, autant physiquement que mentalement. Chaque jour, le dieu ou la déesse en question devait écouter les plaintes incessantes des humains, se plaignant de leur sort. Ils devaient aussi chercher ceux qui avaient une faible volonté de vivre et de les amener le plus rapidement possible, avec des pensées négatives, à se suicider. En temps de crise, c'était surtout à ce moment que le désespoir était présent. Un flot de tristesse, de colère et de violence envahissait leur être et leur faisaient ressentir les mille et une douleurs du genre humain en soi. C'est pourquoi très peu de dieux ou déesses du Désespoir ont gardé leur titre plus de 7 ans.

---------

Voilà donc, avant même d'apparaître, il avait un destin déjà tracé. Un mentor pour lui expliquer son rôle et ce qu'il devait faire. C'est ainsi qu'il devait vivre le reste de ses jours. Il ne le désirait pas particulièrement, mais si c'était ainsi, il ne pouvait pas le refuser. Durant les mois qui ont suivi son apparition, les plaintes avaient déjà commencées. Au début, il essayait de les ignorer et de simplement amener aux hasards des gens au suicide. Mais, au fils des années, son esprit en est devenu emplit. Aidez-moi, sauver mon enfant ! Pourquoi ont-ils fait cela ? Ma vie en vaux telle vraiment la peine ? Mourrez tous autant que vous êtes ! Pourquoi suis-je née ? J'ai besoin de réponse. Vaux mieux en finir maintenant. Ces phrases revenaient sans cesse dans sa tête. Il en devenait fou. Voir des gens mettre fin à leurs jours en répétitions, à chaque jour, chaque heures et chaque minute. Il allait tout abandonner, il ne voulait plus rien entendre. Cela ne faisait pourtant que 2 ans qu'il était là et il ne le supportait déjà plus. À ce moment, il descendit sur terre, prenant possession d'un être humain quelconque et voulu se jeter en bas d'une falaise. Mais, il n'avait pas pu. Il avait été arrêté par son mentor. D'un air des plus cruels, il lui avait empoigné le bras pour le jeter sur le sol, un peu plus loin. Son mentor était le dieu de la Colère. Celui-ci, qui s'était tapi dans l'ombre depuis 2 ans, avait décidé qu'il n'allait pas laisser ce dieu du désespoir se tuer, il allait le garder en vie, peu importe ce qu'il devait faire. C'est ainsi que Gabriel, tel était le nom qu'il lui avait été donné, fût contraint et enchaîné par le Dieu de la Colère, sous son joug. Pendant plusieurs années, la colère se déchaînait à chaque fois que le désespoir essayait de mettre fin à ses jours. Des coups par-dessus les coups. Lorsque le frêle dieu se tranchait les poignets, le mentor brûlait les blessures qu'il s'était infligées. C'était une douleur physique infernale. En plus, les voix dans sa tête devenaient de plus en plus persistantes, le rendant anxieux et méfiant. Il ne voulait plus de cette vie.

C'est là que le chant le sauva.

Gabriel était seul, dans un coin, enfermé dans une pièce à double clé. Le silence était mortel et l'autre dieu venait juste de partir. Une plaie encore sanglante coulait le long de son dos écorché Il l'avait puni plus fort que d'habitude. Les larmes avaient cessé de couler depuis longtemps. Elles ne servaient plus à rien à part démontré sa faiblesse. Son regard vide, il n'était plus qu'une marionnette sans âme. Fermant les yeux, il espérait qu'il ne s'ouvre plus jamais. Ce serait bien.

♫ Je veux respirer, je déteste cette nuit. Je veux me réveiller, je déteste ce rêve. Piégé en ma propre personne, je suis mort. Je ne veux pas être seul ♫

Qui était-ce ? Quel était cet air si... Mélancolique ?

♫ Pourquoi là où tu n'es pas tout est si sombre ? Être détruit comme je le suis, c'est dangereux. Sauve-moi, car je ne peux pas reprendre mes esprits par moi-même... ♫

Il voulait en entendre plus de cette voix. Elle semblait le toucher directement au cœur. Tranquillement, il s'avançait vers le mur pour écouter encore un peu, mais le chant s'était stoppé. Au même moment, quelque chose de chaud semblait couler sur ses joues. Des larmes. Pourquoi ? Car son cœur s'était agité, cette chanson avait refait naître un étrange sentiment. Celui de la passion. Tranquillement, il s'étendit sur le sol et se mit à fredonner.

''Je veux respirer... Je déteste cette nuit.. Je veux me réveiller...'' ♪

Le fait de chanter lui faisait un bien fou. Tout d'un coup, il n'entendait que la voix mélancolique et rien d'autre. Les paroles étaient la seule chose qu'il avait en tête. Les plaintes n'étaient plus qu'un lointain souvenir. Continuant de fredonner, un petit sourire commençait à se former lorsque la porte éclatait littéralement sur lui. La surprise le fit sursauter et le peu de joie qu'il avait acquérit plutôt c'était fondu en peur extrême. Son regard n'osait pas croiser celui du cadre de porte, mais il en fut obligé. Plusieurs dieux le prirent par les bras et le traînèrent en dehors de la pièce, le tout sous le regard du Dieu de le Colère. Qu'avait-il fait ? L'avait-il déçu ? Sa patience avait-elle fini par craquer ? Il ne pouvait le deviner, mais le dieu avait un sourire narquois. Sous le regard désespéré de Gabriel, le dieu était en train de le prendre de haut. Il allait être puni de nouveau.

Il était devant le tribunal de l'époque, quelques années avant la création d'Illusion qu'il se retrouvait. Le Dieu de la Colère avait voulu faire Déchu Gabriel pour son incompétence flagrante et son manque d'intérêt à sa tâche. Mais, le dieu juge n'était pas de cet avis. Par contre, au lieu de le déchure, il voulait qu'il aille dans le monde, qu'il puisse découvrir le monde sans protection de son mentor. De toute manière, il l'avait bien dressé, il ne pouvait pas les fuir ou leur désobéir de toute façon. Les autres avaient approuvé, sauf le mentor. Il semblait encore plus enragé de savoir que son sous-fifre allait pouvoir vivre librement.

Envoyé sur Terre, il vivait dans une certaine crainte. Il ne tentait plus de mettre fin à ses jours sous peine de représailles et évitait tout contact avec les humains.

Après quelques années de reclus, vint le commencement de la grande Guerre, celle d'Illusion. Gabriel n'y avait pas particulièrement participé, mais lorsque des humains, tous aussi haineux, s'étaient approchés de lui pour lui faire du mal, il s'était mis à chanter, comme par réflexe.

♫ Un château de cartes, avec nous, à l'intérieur. Même si l'on voit que sa fin est proche, même s'il est sur le point de tomber. Plus le temps passe, plus il s'affaisse ♫

Au moment où les humains ont entendu ses paroles, ils arrêtèrent tous mouvement et déposèrent leurs armes en marmonnant ses choses négatives, se traitant de larve et de déchet de la société. Le dieu du Désespoir prit cette opportunité pour fuir et se réfugier dans un endroit plus sûr le temps que la guerre se termine. Mais, le malheur n'avait pas fini de le pourchasser. Il avait encore quelque chose qui allait lui briser de nouveau l'esprit. Oui, c'était ce mentor violent. Il l'avait cherché durant la guerre, voulant se défouler sur son petit chien qu'il avait dressé. Il voulait le ravoir. Lui, qui avait expressément tué l'ancienne Déesse du désespoir pour un renouvellement plus docile, il refusait de laisser tomber sa dominance sur celui-ci. Il l'avait alors cherché dans les villages, mais l'avait aperçu au moment où Gabriel avait fui les villageois qu'il venait de mettre au désespoir.

Seul dans la nuit, le dieu du Désespoir cherchait une cachette, mais il n'y en avait pas. La panique l'envahissait, il ne désirait pas faire de mauvaises rencontres. Essayant d'éviter le plus de lumière, il finit par entrer dans une maison vide. L'odeur était horrible, mais c'était mieux que rien. Le plancher était en mauvais état et il y avait un corps animal dans le fond. Mais il avait besoin de cette cachette. En refermant la porte, il échappa un soupir de soulagement lorsqu'il eut une main sur sa bouche et que ses mains furent clouées dans son dos. Il pouvait le savoir sans regarder. C'était lui. Il l'avait attendu si patiemment. S'approchant de son oreille, il lui chuchotait que tout allait bien aller, qu'il allait simplement le punir pour avoir été aussi loin de lui durant tout ce temps. À ces mots, la terreur l'envahissait. Mais l'ordre de ne pas bouger était plus fort que sa volonté, déjà assez faible. Brutalement, il le jeta sur le sol, sur le ventre et déchira le dos de ses vêtements pour mettre à découvert ses ailes. Tremblant, Gabriel n'osait plus faire quoi que ce soit, ou même dire quoi que ce soit qui aurait pu l'enrager encore plus. Son corps entier était tétanisé, paralysé. Il sentit doucement la froideur d'une lame passer dans son dos, puis dans ses cicatrices, puis dans sa chair.
Il ressentait les vieilles cicatrices d'autrefois, il venait de toutes les réouvrir. Ce type avait détruit sa fierté, son envie de mourir, sa dignité et sa liberté. Il l'avait mis dans une cage qui lui était impossible d'ouvrir.

Pendant que le dieu du Désespoir étant tout tremblant comme une feuille, le dégénéré approchait son couteau de son aile. Son excitation était au maximum. Il voulait le faire souffrir, c'était évident. Tirant le plus possible sur le tendon, il découpa à la racine son aile droite, enfonçant son couteau le plus loin dans la chair possible. Il voulait que sa chienne souffre, que son esclave hurle. Il voulait l'entendre, crier et pleurer. Après quelques minutes, il avait fini son scalp.

Il n'avait pas voulu le faire, mais c'était plus fort que lui. La douleur l'avait forcé à commettre un acte irréparable : il l'avait poignardé. Quand il lui avait déchiré l'aile droite, il avait vu noir et son esprit était vide. Sans vraiment s'en rendre compte, il s'était retourné rapidement, empoigné le couteau et l'avait poignardé à plusieurs reprises dans le torse et le visage. Il n'arrêtait plus, le sang lui giclait dessus. Un mélange de sentiment de colère et de peur lui faisait perdre la tête. Après plusieurs minutes à poignarder son bourreau, Gabriel se rendit compte de l'acte et relâcha immédiatement le couteau, s'éloignant du corps maintenant sans vie sur le sol. Ce fut un énorme traumatisme pour lui. Il avait tué sa propre race, un compagnon. Il n'avait pas voulu le tuer, mais sous une pulsion, il avait mis fin aux jours de son mentor. Il s'en voulait, Ô qu'il s'en voulait. Serrant les poings, se relevait du sol pour sortir de cette maison devenu moribonde. Avec une aile en moins, son équilibre en était mauvais et il tombait à chaque fois. Des larmes coulaient à flot le long de ses joues, ses genoux étaient en sang et son dos complètement recouvert d'un rouge vif. Dans un hurlement de Désespoir, il semblait s'adresser à quelqu'un d'invisible.

Ô grand désespoir ! Est-ce mal, d'un jour, vouloir t'écarter ?

Son âme était blessée, autant que son corps. Dans un dernier souffle, il succombait à la fatigue et fermait les yeux, espérant recevoir le châtiment qu'il méritait : la mort.

Malheureusement, il fut réveillé par une alarme, un énorme vacarme. Ouvrant lentement ses yeux, il fut électrifié. Son corps entier était douloureux. Hors sa douleur, le décor avait changé. Surpris, il finit par se mettre debout et regarder les alentours. Il n'était plus au même endroit. Sa surprise fût coupée lorsqu'il entendit des humains s'approcher en masse. À la dernière minute, il avait réussi à se cacher. Son dos lui faisait horriblement mal, mais il pouvait le supporter. Au même moment, il apprit des choses complètement folles venant de ces humains. Le monde avait changé. Le pouvoir chez les dieux avait changé et cela eut comme conséquence la révolte et le monde qui se changea en Illusion pour y condamner les humains à y mourir. Gabriel ne comprenait plus vraiment ce qu'il se passait jusqu'à ce qu'il commence à entendre des voix de nouveaux. Elle était atroce et pleine de haine. Se recroquevillant sur lui-même, il se mit à fredonner un air pour se calmer.

♫ Je veux respirer, je déteste cette nuit. Je veux me réveiller, je déteste ce rêve. Piégé en ma propre personne, je suis mort. Je ne veux pas être seul ♫

♫ Pourquoi là où tu n'es pas tout est si sombre ? Être détruit comme je le suis, c'est dangereux. Sauve-moi, car je ne peux pas reprendre mes esprits par moi-même... ♫



♫ Merci de m'avoir permis d'être moi. De m'avoir aidé à m'envoler. De m'avoir donné des ailes. De m'avoir remis dans le droit chemin. De m'avoir réveillé de mon état d'asphyxie. De m'avoir réveillé du rêve qui était ma réalité et dans lequel je vivais ♫

Les voix s'étaient éteintes, le calme était revenu. Gabriel allait tout devoir supporter par lui-même, tout en continuant de découvrir le nouveau monde, et ce, depuis 100 ans jusqu'à aujourd'hui.

A votre propos

Pseudonyme : Gabriella
Âge : 19 ans
Commentaire : PARTICULIER

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